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23 octobre 2022 0 Commentaire

En attendant

 

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Ne plus regarder les news, elles sont trop mauvaises.

Idem la radio, la télé et même le ciné.

Je veux que tous se taisent,

Arrêter de souffler sur les braises.

Si mon esprit veut pouvoir voyager,  je dois m’envoler.

Aller chercher ailleurs le sentiment du bonheur.

Si mon corps souhaite se dévergonder et exulter,

Il me faudra dans ce monde bannir les horreurs,

Sortir de cette torpeur qui m’a annihilée.

De l’énergie, j’en ai à revendre.

Je ne veux plus attendre.

Alors, Pégase, emporte-moi loin d’ici.

Les hommes sont devenus fous  à lier.

Même s’il nous faut parcourir toute la galaxie,

Pour trouver le répit, jamais ne serai fatiguée.

J’aurai bien trop à gagner.

2 mai 2021 2 Commentaires

AU bout de tout cela,

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Et si tout ce qui arrivait n’était pas le fruit du hasard ?

En feriez-vous toute une histoire ?

Le sucre disparaissant chaque matin dans le café,

Des vagues sans écume, n’atteignant plus le rivage 

Vous qui m’aviez promis d’être sage.

La vie toute entière n’est plus vérité !

 

Et si dès le réveil, la nature sans sommeil, allait respirer ailleurs ?

Là où les hommes n’ont aucun pouvoir, histoire de voir.

Voir, si elle détient encore en son miroir la mémoire.

Fragrances rimeraient avec sens, retrouvant le meilleur.

Chacun jouant à sa guise au marchand de rêve,

Comme il est bon parfois de faire une trêve.

 

Et si tout ce qui arrivait n’était pas le fruit du hasard ?

En feriez-vous toute une histoire ?

Je crois au destin et à sa course folle

De chaque matin je fais une farandole,

Jamais mon coeur, je ne retiens,

Tutoyant le vent, lui tendant la main,

Car je sais qu’on ne vit et ne meurt qu’une fois. 

 

5 mars 2021 3 Commentaires

Aimer,

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Si j’ai beaucoup aimé, je me suis aussi torturée.

De rester aux côtés d’un seul homme,  je l’ai souvent rêvé.

la vie est un mystère qui parfois nous effraie

Il ne faut jamais dire jamais .

 

Si l’on m’a beaucoup aimée, on a tout de même écrit le mot fin.

On ne danse pas toujours comme au  Paradis Latin.

Le sol est parfois glissant et la chute plus rude.

Pour l’Aimée comme pour  l’Amant, c’est une certitude.

 

J’ai connu la passion brûlante semblable  à l’ouragan.

Qui emporte tout sur son passage,  transforme la vie en néant.

Occupe toute la place, en dehors comme en dedans.

Chacun de mes gestes était brûlant.

 

Il faut se faire violence pour renoncer et retrouver l’élan

D’une nouvelle vie, à petits pas plus apaisants.

Comme j’ai besoin pour respirer  d’équilibre,

ll me semble à présent être  enfin libre.

 

Mon nouvel Amour est plus sage et harmonieux.

Je cesse d’être volage et me repose dans ses cieux.

Au crépuscule, la vie me murmure que c’est mieux.

Trop difficile de vivre un Amour  fiévreux et tempétueux.

23 juin 2020 0 Commentaire

C’était toi

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On peut se tromper de chemin sans jamais se mentir.

Croire au bonheur l’espace d’un instant alors que doucement il vole ailleurs.

On croit aimer que déjà, sans prévenir, s’éloigne le plaisir.

Dire pour toujours, et sans s’y attendre perdre l’élan de son coeur.

L’amour est un sentiment incertain.

Qui peut anéantir  lorsqu’il rebrousse chemin.

Pourtant, on ne lui résiste jamais,

Il est si bon de vaciller…

Un jour, pourtant, au détour d’un regard,

Le long d’une phrase, l’espace d’un geste

….tu es et resteras.

 

27 avril 2020 0 Commentaire

La folie de l’homme

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Nous voici devant un caprice de l’histoire.

Enfermé chez lui par la force des événements,

L’homme a perdu la mémoire.

Il tente un voyage dans le temps.

Mais rien n’y fait, il se refuse  à comprendre.

La planète qu’il trouvait fort  à son goût,

Il la trahit jusqu’à la réduire en cendres.

Ses trésors ne valent plus un clou.

 

Le soleil lui brûle chaque jour un peu plus la peau

Mais le capitalisme l’emporte sur les idéaux.

Aie, sauve-moi, je pars en morceaux.

Même les icebergs ont trop chaud.

 

Il avance  à grands pas de désespoir,

En direction de son non avènement.

Sans même avoir le temps de dire bonsoir,

Il se retrouvera projeté dans le néant.

L’Amour ne l’a pas rendu plus tendre.

De son prochain, il se fiche peu ou prou.

Aucun compte, jamais il ne veut rendre,

L’homme serait-il donc devenu fou ?

 

Le soleil lui brûle chaque jour un peu plus la peau

Mais le capitalisme l’emporte sur les idéaux.

Aie, sauve-moi, je pars en morceaux.

Même les icebergs ont trop chaud.

 

 

 

 

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