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7 mai 2017 1 Commentaire

Si seulement,si…

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Si seulement on pouvait connaître les événements,

Se préserver d’eux comme du mauvais temps !

Si seulement, il en avait été autrement,

Toi et moi, sous le soleil affirmativement.

Si seulement j’avais été plus naïve, plus facile à entraîner,

 

Tout alors aurait été positivement parfait et posé.

La mer aurait contemplé nos baisers,

Le sable écouté nos secrets murmurés.

On se la serait coulé douce, sous le soleil  de l’ été.

 

Si mon cœur et ma tête  ensemble avaient comploté,

Au lieu de sans cesse se chamailler,

Si mon quotidien t’avait laissé plus de place qu’en vérité,

On se la serait coulé douce, sous le soleil de l’été.

 

Si seulement on pouvait connaître les événements,

Se préserver d’eux comme du mauvais temps !

Si seulement, il en avait été autrement,

Toi et moi, sous le soleil affirmativement.

Si seulement j’avais été plus naïve, plus facile à persuader…

8 mai 2016 7 Commentaires

Idées nocturnes

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Il marche sur le côté, faisant face aux lueurs des phares. Il est tel le somnambule, happé par des rêves qui chamboulent sa tête et son coeur. Tel un funambule, il risque le tout pour le tout. Si à la fin de la nuit, il est toujours là,  il l’appellera et lui dira tout.

Aveuglé par la lumière, il s’imagine déjà de l’autre côté. Comment cela doit-il être ? Personne n’en est jamais revenu. 

Il perd pied, l’imagination a pris la place du concret. Il n’a plus les pieds sur terre. 

Quand elle lui a dit ;  la déchirure fut fulgurante. Tel un éclair, le cœur coupé en deux : ne lui restait que ses yeux pour pleurer, sa bouche pour hurler, ses mains pour supplier.

La vie ne suit pas toujours le chemin qu’on lui avait tracé. Au travers des lacets, parfois elle s’échappe. Un virage et hop, la voilà disparue, vous voici déchu.

Et pourtant, vous vous accrochez. Vous croisez les doigts, vous voulez croire. Il est des verres que l’on voit toujours  à moitié plein et c’est ce qui vous fait tenir.

En équilibre,  il joue avec son ombrelle que le vent fait tournoyer. La vie c’est toujours compliqué. 

On vise les étoiles et on est content lorsque l’on touche seulement le premier nuage du bout des doigts et sur la pointe des pieds. C’est l’espoir qui nous nourrit, un sourire qui nous retient, un mot qui nous illumine.

On peut être seul au milieu de tous et s’en accommoder, c’est une question de caractère.

Le clown fait rire mais en coulisse il a le sourire en forme de croissant de lune inversé et personne ne le sait. Il cache avec pudeur toutes les émotions de son coeur pour vous plaire. C’est le métier le plus difficile.

Notre piéton de la nuit le sait. Il a égayé ses journées sans jamais faiblir mais elle s’est lassée. Les sentiments s’envolent au premier coup de vent et si c’est la tempête rien ne les arrête. Ils partent si loin que le plus vaillant des pirates sur les flots perdra leurs traces, que le plus grand de tous les rois sur eux ne régnera pas, que le plus preux des chevaliers osera déclarer forfait. Notre piéton nocturne vient de l’apprendre à ses dépends. Un mot déplacé qui crée des maux insensés faisant tellement mal en dedans qu’ils restent gravés à jamais.  

Comme un drapeau  en berne, la fin d’un tout, c’est le début d’un rien !

Et rien, ce n’est vraiment pas grand chose.

Alors, désespéré, il marche sur le côté, faisant face aux lueurs des phares. Il est tel le somnambule, happé par des rêves qui chamboulent sa tête et son cœur. Tel un funambule, il risque le tout pour le tout. Si à la fin de la nuit, il est toujours là,  il l’appellera et lui dira tout.

 

 

 

16 décembre 2014 2 Commentaires

à la porte de mon coeur

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Vous qui venez  de frapper, à la porte de mon cœur voulez entrer.

Mais il faut montrer patte blanche, et patience pour l’apprivoiser.

Mon palpitant n’est pas une machine qui irrigue le corps.

C’est une partie sensible de l’âme qui transpose des accords.

Il a ses humeurs, qui parfois vagabondent,

Et n’a pas toujours envie de bien vous répondre.

Il voyage entre plusieurs mondes, assoiffé d’amour.

Désire beaucoup , se refuse souvent, paré de ses plus beaux atours. 

Par transparence,  blanc ou noir, oscille parfois jusqu’au gris foncé,

Quand la tempête gronde et que l’orage approche, il peut crier.

De rage  ou d’espoir, à chacun sa vérité.

Le cœur est un miroir, celui de mes yeux, qui pleurent quand vous le blessez.

26 novembre 2014 3 Commentaires

Trop lourd,

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Il est des vies, trop lourdes  à porter,

Des chemins trop boueux qui vous empêchent d’avancer.

Je voyais la vie comme un rayon de soleil,

Mais la pluie  a envahi même mon sommeil.

Le jour, je rêve d’Amour,

La nuit, je pleure mes envies.

J’ai mal  à la tête et mon corps grince,

Marionnette en l’absence de mon prince.

L’impression d’être invisible aux yeux du monde,

Rasant les murs depuis mon Amour dans la tombe.

Je glisse sur le verglas et patatra,

Ne suis plus rien sans lui et voilà !

 

 

 

14 novembre 2014 5 Commentaires

Juste beau…

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Parfois, certaines images nous sautent  aux yeux. On ne sait expliquer pourquoi.

D’ailleurs, il n’y a pas toujours de signification.

Je trouve celle-ci reposante.

Envie de se laisser emporter par cette spirale……………………………..

Parfois.

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