Aimer,
Si j’ai beaucoup aimé, je me suis aussi torturée.
De rester aux côtés d’un seul homme, je l’ai souvent rêvé.
la vie est un mystère qui parfois nous effraie
Il ne faut jamais dire jamais .
Si l’on m’a beaucoup aimée, on a tout de même écrit le mot fin.
On ne danse pas toujours comme au Paradis Latin.
Le sol est parfois glissant et la chute plus rude.
Pour l’Aimée comme pour l’Amant, c’est une certitude.
J’ai connu la passion brûlante semblable à l’ouragan.
Qui emporte tout sur son passage, transforme la vie en néant.
Occupe toute la place, en dehors comme en dedans.
Chacun de mes gestes était brûlant.
Il faut se faire violence pour renoncer et retrouver l’élan
D’une nouvelle vie, à petits pas plus apaisants.
Comme j’ai besoin pour respirer d’équilibre,
ll me semble à présent être enfin libre.
Mon nouvel Amour est plus sage et harmonieux.
Je cesse d’être volage et me repose dans ses cieux.
Au crépuscule, la vie me murmure que c’est mieux.
Trop difficile de vivre un Amour fiévreux et tempétueux.
Texte prenant et magnifique!!!
Bonjour Charlotte.
Quand on aime les beaux écrits, on est obligé de passer chez toi et c’est avec plaisir, encore une fois, de venir sur ton blog lire tes poèmes.
Bien amicalement.
Dominique
Cher Dom ! merci de venir ici ! Pas eu de tes nouvelles depuis longtemps. T’avais envoyé une photo de Port en bassin…bise