un,deux,trois
Il ne fut pas facile de te dire que c’était fini.
Il a été si douloureux de tourner les talons comme d’autres une page.
Il m’a fallu tellement de courage pour ne pas revenir.
Qui a dit que quitter faisait moins mal que d’être remercié ?
Il ne sera jamais renié le passé, parfois même des larmes versées.
Mon coeur n’est pas de pierre et je sais qu’il est des traversées plus arides que le plus sec des Déserts, plus longues aussi.
Au fond d’un puits on peut jeter son désespoir sans que jamais il ne se noie.
Il est des peines qui vous enchaînent et des cages dorées qui demeurent des geôles humides.
Dans le reflet de nos souvenirs, une marque indélébile, un tatouage, une rengaine.
Il existe des phrases qui finissent par un je t’aime comme il est des Amours passionnées et passionnelles qui demeurent éternelles.
Un, deux, trois, mon soleil.