Les mains
Quoi de plus terrible que de tendre les bras, pour t’attraper au loin,
Si au final il ne reste que du vide dans mes mains ?
J’ai besoin de toi comme d’un vaccin,
Pour endiguer l’épidémie qui me terrasse et me rend chagrin.
Je ne sais plus qui je suis quand le compteur s’affole,
Usée, décalée, grignotée, , par toutes ces heures de vol.
Je me raccroche à mes pensées pour ne pas sombrer.
Je m’éloigne de la flamme pour ne pas brûler.
Il est des mains si fragiles qui ne retiennent rien,
Pas même le sentiment d’Amour qui tel un va et vient, oscille.
Entre douleur et bonheur, entre midi et quatre heures, elles vont dociles,
Avant de se perdre sur ta peau,
Mon Amour.
Des heures de vols en altitudes, loin des yeux; et heures de vols du coeur par des interférences. Le grand amour n’oscille jamais car main dans la main, les amoureux se tiennent et sont libres. Bravo Charlotte, j’adore les textes sur la passion.
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quel troublant et poignant poème qui résonne tel un appel au secours.
mais quelle beauté
Des mains pour aimer ou détester !
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Les mains de l’amour ont la douceur qui jamais ne s’oublie,ont-elles posé leur empreinte sur notre cœur,ont-elles tracé le trajet d’un bonheur que ne perdront nos souvenirs,les mains de l’amour par la mémoire de leur toucher ont marqué notre éternité,le temps ne perd les précieux instants,
très bonne soirée à toi Charlotte.
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