Archive | janvier 2016
Crazy Amy
SYNOPSIS
« La monogamie, ce n’est pas réaliste » dixit le père d’Amy, quand il a annoncé son divorce à ses filles. Devenue adulte, la jeune femme applique ce principe à la lettre. Alors que sa soeur est « très mariée », elle collectionne les amants d’un soir et met un point d’honneur à ne pas les laisser dormir chez elle. Journaliste dans un magazine, elle, qui déteste le sport, est chargée d’interviewer Aaron Conners, un célèbre médecin qui s’occupe entre autres de stars de na NBA. Contre toute attente , elle tombe sous son charme et commence à remettre en cause le concept paternel. Il faut d’ailleurs qu’elle s’occupe de son père, gravement malade…
Une rencontre
L’âme de l’artiste
Il faut être artiste pour savoir convaincre le bonheur,
De ne pas aller voir dehors si les fleurs ont le gout du miel.
Il faut être un peu magicien sans doute,
Pour transformer l’hiver le plus froid en un été plein de fraîcheur.
Adieu tous ces bonimenteurs, qui ont une pierre à la place du coeur.
Qui vous font croire, en un avenir meilleur, la bouche pleine de fiel.
La boule de cristal jamais ne vous écoute.
Elle trouble grandement le chemin de l’être qui a faim.
Et ajoute des virages sinueux où tout allait si bien.
Ne soyez pas crédules, vous qui rêvez de lendemains radieux.
Sachez aimer ceux qu’aujourd’hui vous côtoyez.
Gardez les pieds au sec, et votre tête au merveilleux.
La vie est un trouble fête qui pourrait vous déposséder,
De votre âme d’enfant,
Alors qu’il faudrait la garder jusqu’à la fin des temps.
Les mains
Quoi de plus terrible que de tendre les bras, pour t’attraper au loin,
Si au final il ne reste que du vide dans mes mains ?
J’ai besoin de toi comme d’un vaccin,
Pour endiguer l’épidémie qui me terrasse et me rend chagrin.
Je ne sais plus qui je suis quand le compteur s’affole,
Usée, décalée, grignotée, , par toutes ces heures de vol.
Je me raccroche à mes pensées pour ne pas sombrer.
Je m’éloigne de la flamme pour ne pas brûler.
Il est des mains si fragiles qui ne retiennent rien,
Pas même le sentiment d’Amour qui tel un va et vient, oscille.
Entre douleur et bonheur, entre midi et quatre heures, elles vont dociles,
Avant de se perdre sur ta peau,
Mon Amour.