Archive | janvier 2015

18 janvier 2015 1 Commentaire

DOMINATION

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Date de sortie 10 septembre 2014 - en DVD (1h30min)
Réalisé par Erik Lamens
Avec Gene BervoetsVeerle DobbelaereAxel Daeseleire plus
Genre Biopic , Drame
Nationalité Belge
Spectateurs
  3,0 pour 12 notes dont 2 critiques

Synopsis et détails

Pour sauver son couple, un juge va assouvir les fantasmes SM de sa femme. Mais cette libido débridée ne va pas longtemps rester secrète…

Un sujet grave traité intelligemment. Ce film tiré d’une histoire vraie  m’a beaucoup touchée. C’est plus un film sur l’amour véritable entre un mari et sa femme que sur le milieu  sado-masochiste.  Les juges qui ne comprennent rien et qui condamnent, les amis qui  ne jugent pas, leur fille  qui s’interroge quand elle découvre une facette inconnue de ses parents…  Peut-on aimer souffrir ? Être dominé par autrui ? Jusqu’où peut-on aller dans l’amour de l’autre ? Pour le rendre heureux ? Voilà la vraie question qui mènera jusqu’à l’épanouissement total du couple.

Un film a voir absolument. On n’y parle que d’amour, le vrai, le véritable, le seul, celui qui demande l’oubli de soi parfois pour le bonheur de l’autre… j’ai adoré.

12 janvier 2015 0 Commentaire

Les Yeux jaunes des crocodiles

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Date de sortie 9 avril 2014 (2h2min)
Réalisé par Cécile Telerman
Avec Julie DepardieuEmmanuelle BéartPatrick Bruel plus
Genre Comédie dramatique
Nationalité Français
Presse   2,8 16 critiques
Spectateurs
  3,7 pour 1 540 notes dont 297 critiques

Synopsis et détails

Deux sœurs que tout oppose. Joséphine, historienne spécialisée dans le XIIème siècle, confrontée aux difficultés de la vie, et Iris, outrageusement belle, menant une vie de parisienne aisée et futile. Un soir, lors d’un dîner mondain, Iris se vante d’écrire un roman. Prise dans son mensonge, elle persuade sa sœur, abandonnée par son mari et couverte de dettes, d’écrire ce roman qu’Iris signera, lui laissant l’argent. Le succès du livre va changer à jamais leur relation et transformer radicalement leurs vies.

 

Les Yeux jaunes des crocodiles est une adaptation du best-seller éponyme de Katherine Pancol, paru en 2006 chez Albin Michel et vendu à plus d’un million d’exemplaires. C’est le premier roman de l’écrivaine française qui bénéficie d’une adaptation sur grand écran. En 2006, le livre a remporté le prix Maison de la Presse, et a été traduit dans de nombreuses langues dont le russe, le chinois, l’ukrainien, ou encore l’italien.

Jacques Weber a remplacé au pied levé l’acteur Gérard Depardieu. Alors parti en Russie pour y demander sa nationalité, ce dernier aurait refusé de revenir tourner sur le sol français.

Les Yeux jaunes des crocodiles est le troisième long-métrage de la réalisatrice belge Cécile Telerman, après les comédies Tout pour plaire (2004) et Quelque chose à te dire (2008). Et une fois de plus, la cinéaste s’attèle au sujet complexe de la famille, et plus précisément à la trajectoire de deux sœurs. Elle révèle qu’après la lecture du roman deKatherine Pancol, elle a été touchée par cette histoire à « l’univers édulcoré, bourgeois, qui recèle en lui une grande cruauté. J’ai trouvé que les rapports entre les personnages étaient très très violents. »

C’est à l’occasion de ce quatrième film que la réalisatrice Cécile Telerman a eu l’opportunité de vadrouiller avec sa caméra en Afrique du Sud, pour y filmer notamment un élevage de crocodiles. Tourné du 21 mars au 13 septembre 2013, le film regorge de plans filmés en extérieur : des paysages normands de Trouville aux montagnes de Courchevel en passant par les plages de Biscarosse.

Le producteur Manuel Munz ne s’est pas contenté d’acheter uniquement les droits d’adaptation des Yeux jaunes des crocodiles, mais s’est également procuré ceux des deux autres volets de la trilogie écrite par Katherine Pancol :  »La Valse lente des tortues » et « Les Ecureuils de Central Park sont tristes le lundi ». Reste à savoir si les intrigues familiales de la romancière gagneront de nouveau les salles obscures.

 

La critique n’avait pas été tendre avec ce film et bien moi qui ai lu les 3 tomes de Catherine Pancol, je n’ai pas été choquée, j’ai même apprécié. Une histoire de famille comme il en existe bien d’autres… mais, un univers bien particulier, centré sur ces 2 soeurs, si différentes… Une mère détestable, un père parti trop tôt…et voilà cle départ de votre chemin de vie… il faut faire avec.  Certains s’en sortent mieux que d’autres, entre mensonge et vérité ! De bons acteurs, même si Bruel fait du Bruel…(désolée les filles). J’aime beaucoup J. Depardieu, quelque soit le film, elle a des étoiles dans les yeux. J’attends donc forcément beaucoup des 2 suivants…

J’ai passé un bon moment. Un film tendre.  à voir.

12 janvier 2015 0 Commentaire

LES POINGS CONTRE LES MURS

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Date de sortie 4 juin 2014 (1h45min)
Réalisé par David Mackenzie
Avec Jack O’ConnellRupert FriendBen Mendelsohn plus
Genre Drame
Nationalité Britannique
Presse   3,8 17 critiques
Spectateurs
  4,0 pour 1 398 notes dont 197 critiques

Synopsis et détails

Interdit aux moins de 12 ans avec avertissement

 Eric est un jeune délinquant violent prématurément jeté dans le monde sinistre d’une prison pour adultes. Alors qu’il lutte pour s’affirmer face aux surveillants et aux autres détenus, il doit également se mesurer à son propre père, Nev, un homme qui a passé la majeure partie de sa vie derrière les barreaux. Eric, avec d’autres prisonniers, apprend à vaincre sa rage et découvre de nouvelles règles de survie, mais certaines forces sont à l’œuvre et menacent de le détruire..

Pour ce huis-clos carcéral, l’équipe du film a tourné dans une vraie prison :  celle de Crumlin Road à Belfast en Irlande du Nord, qui a fermé ses portes en 1996.

« Starred up » est le titre original des Poings contre les murs et désigne en anglais l’action de transférer une personne mineure dans un centre de détention pour adultes en raison de son degré élevé de violence.

Si la représentation carcérale a été remise au goût du jour avec les récents succès de Prison Break et d’Un prophète, le film de prison est un genre spécifique très ancien, prenant son origine dans les années 1930 avec des titres incontournables comme The Big House (1930), Je suis un évadé (1932), Le Code criminel (1932) ou encore Le Révolté (1937).

Dans les années 1940 jusqu’aux années 1970, les films de prison obéissent ainsi aux mêmes constantes, puisqu’il est souvent question d’un personnage qui va tenter de faire un « pied de nez » à la tyrannique institution pénitentiaire en cherchant à s’évader. Les exemples appuyant ce schéma sont nombreux : on peut citer Les Démons de la liberté(1947), Les Révoltés de la cellule 11 (1954), Le Trou (1960), Luke la main froide (1967) ou encore L’Evadé d’Alcatraz, etc.), tandis que les membres de l’administration pénitentiaire apparaissent souvent comme des êtres cruels, abjects et avides de pouvoir (Hume Cronyn dans Les Démons de la libertéEddie Albert dans Plein la gueule, etc.).

Les choses sont bien différentes dans les représentations carcérales les plus récentes, puisque les thématiques de l’évasion, de l’arbitraire des matons et du héros sûr de lui sont des constantes qui tendent à perdre de leur importance. Les films de prison des années 1990 et 2000, centrés sur des prisonniers en guerre permanente les uns avec les autres, en sont révélateurs (Sans rémissionLes Princes de la villeSlamUn Seul deviendra invincible,CarandiruFelonUn prophèteR, etc.) : pour le héros effectuant ses premiers pas dans l’institution, la priorité n’est plus de s’évader mais de parvenir à survivre dans un univers régit par la loi du plus fort.

Les Poings contre les murs appartient clairement à cette catégorie : fini les représentations stéréotypées de surveillants sadiques et de la joyeuse entraide entre détenus pour se « faire la malle ». Désormais, l’accent est mis sur la violence du milieu carcéral, et plus particulièrement sur les rapports de force entre détenus.

 

 

Un film effectivement violent mais tellement juste. Une atmosphère pesante,  on souffre vraiment. Un film à voir absolument. Toute cette violence qui éclate avant même qu’on la devine, un regard, un mot, un geste…et puis, parler, assister à des séances de groupe…et doucement revenir dans le monde réel, celui où les gens se parlent autrement qu’avec leurs poings, où le mot merci  à son importance….je pourrais vous parler de ce film des heures durant mais, sincèrement, regardez-le.

 

11 janvier 2015 2 Commentaires

hommage à « Charlie Hebdo »

PHOTOS TIRÉES DU MONDE :

 

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5 janvier 2015 1 Commentaire

Le CERCLE D’ARGENT Bernard Boudeau

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Synopsis :

1991 – La journaliste suisse, Margaux Strenbach, couvre en Yougoslavie l’effondrement du modèle socialiste de Tito. Elle découvre, au hasard d’un reportage, des documents qui la mettent sur la piste d’un gigantesque trafic d’organes. Elle utilise les compétences et les relations de Gontier pour découvrir la clinique où ont lieu les transplantations… mais derrière ce trafic se cache une secte aux ramifications internationales! 2001 – Cette secte, le Cercle d’argent, kidnappe la petite-fille d’une députée afin de l’empêcher de défendre son projet de loi anti-secte au Parlement européen. Le commandant Gontier aura pour mission de retrouver la jeune fille et d’anéantir la secte. Pour cela, il va faire appel à Assia, la séduisante body-guard dont les méthodes sont simples, efficaces et définitives…
Bernard Boudeau aime changer : changer d’endroit, changer de passion, changer de vie. Il a aimé passer de l’univers des hôpitaux à celui des entreprises, des couloirs des universités aux allées des usines. Tour à tour infirmier, formateur, enseignant, consultant ; tour à tour passionné de musique et de photo, d’Amérique aussi… Ce qui ne change pas, c’est son plaisir à raconter des histoires, d’humbles haïkus aux scénarii de jeux de rôles, des exercices pédagogiques aux contes inventés pour endormir ses enfants. Il doit avoir neuf vies et nul ne sait s’il les doit à Dieu ou au Diable. En 2009, avec Méfie-toi d’Assia !, son premier roman, un thriller salué par de nombreux jurys, l’animal plante ses griffes en littérature, et avec un fameux coup de patte ! De la même veine, L’homme qui aimait les tueurs l’installe parmi les grands du roman noir. En 2013, son quatrième opus, Les Mâchoires du passé, reçoit le Prix du Polar du Lions Club de Rambouillet et il revient en 2014 avec Le Cercle d’argent, 400 pages de pur suspense…

C’est le second livre de Bernard que je lis.  Et toujours le même engouement.  J’ai rencontré l’auteur au salon des pieux l’an dernier. Un homme posé, souriant et très sympathique. J’ai commencé à le découvrir au travers de « Méfie-toi d’Assia !,  Je le retrouve ici avec le cercle d’argent. Toujours autant de suspense. Les sujets sont variés, on aime les personnages.  On aurait peut-être aimé un peu plus de situations coriaces, dures ce qui aurait donné un côté plus sombre en accord avec le sujet… on  passe assez vite sur certaines monstruosités tels les mines, les cobayes futur greffes… Bernard les pointe du doigt mais s’en s’appesantir. Peut-être tout simplement pour ne pas s’égarer ou alourdir l’histoire…il reste sur le fil conducteur et les personnages centraux.  Le style est agréable, un rythme toujours soutenu et une description détaillée des lieux…

Un livre  à conseiller….Bernard, je réclame le prochain.   merci et bravo.

Rencontres : 

Rencontrez Bernard BOUDEAU à MENNECY les 7 et 8 février 2015
07/02/2015
Rencontrez Bernard BOUDEAU à GENNEVILLIERS le 15 mars 2015
15/03/2015
Rencontrez Bernard BOUDEAU à LENS les 21 et 22 mars 2015
21/03/2015
Rencontrez Bernard BOUDEAU à NEUILLY-PLAISANCE les 11 et 12 avril 2015
11/04/2015
Rencontrez Bernard BOUDEAU à OZOIR-la-FERRIERE le 21 novembre 2015
21/11/2015
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