L’imagination
Dans le jardin, sur la pelouse tu t’allongeais….Tu regardais le ciel et tu rêvais.
Combien de fois me suis je reposée à tes côtés ?
On ne faisait rien, on regardait les nuages, on leur trouvait mille visages.
Là où tu voyais un chat, je devinais un dragon, tu supposais un sourire, je t’imposais une grimace
Comme on est bien quand on ne pense à rien…
Lorsque le vent soufflait trop fort, on ne reconnaissait plus rien,
Alors on fermait les yeux pour jouer aux devinettes.
Les tiennes étaient toujours trop sérieuses, les miennes toujours improbables.
Lorsqu’il pleuvait, nous regardions de la fenêtre, les gouttes d’eau , une à une , essayant de les compter .
C’est comme sur la route, lorsque les enfants ne sont pas sages et que les parents pour les occuper
Leur demande de compter toutes les voitures rouges…
Cela ne dure jamais bien longtemps… lorsque l’imagination ne peut voyager.
Mais toujours le soleil réapparaissait et alors tous nos jeux….on recommençait.
Aujourd’hui plus que jamais, mon esprit aime voyager,
C’est pourquoi, sur le papier, je laisse mes mots gambader.
Ton texte me plonge dans mon enfance où l’imagination s’activait en regardant ces formes évolutives des nuages mais aussi en scrutant les bizareries proposées par la nature.
Là aujourd’hui en regardant ta première image je découvre un « pégase supersonique ». Comme quoi le cheval ailé s’est aussi adapté à l’évolution de la technologie.
Bon week-end avec mon bonjour amical
Philosophe
Cheval ailé, chevaux zélés !
Quand les mots coulent de source, la poésie s’invite.
Bonne nuit
Génial c’est article sur les mots !!! Merci de nous faire découvrir Lilith, je ne connaissais pas !