Archive | 12 avril 2013

12 avril 2013 2 Commentaires

Tortilla flat par John Steinbeck

Tortilla flat  par John Steinbeck tortillaflat

 

 Quatrième de couverture

«- Je vais tout te raconter. J’ai acheté deux gallons de vin et je les ai apportés ici dans le bois, puis je suis allé me promener avec Arabella Gross. J’avais acheté pour elle, à Monterey, une paire de pantalons de soie. Elle les a beaucoup aimés, si roses, si doux. Et puis, je lui ai aussi acheté une petite bouteille de whisky. Un peu plus tard, elle a rencontré des soldats et elle est partie avec eux.- Oh ! la détrousseuse de l’honnête homme !»

RÉSUMÉ DU LIVRE

Les paisanos, ces fermiers au sang américain et indien mêlés, vivent et sont heureux en dépit de la violence qu’ils subissent et du sort qui parfois s’acharne…C’est le 4em roman de Steinbeck. Il a apporté la reconnaissance à son auteur tout en lui attirant les foudres de la chambre de commerce de Monterey qui refusait d’admettre la réalité des difficultés vécues par les fermiers.

Un roman  à l’ivresse jubilatoire! Des personnages hauts en couleurs comme toujours chez Steinbeck. Une atmosphère…

 

Citation : « Un peu d’amour, c’est comme un peu de bon vin… Trop de l’un outrop de l’autre rendent un homme malade.  »

12 avril 2013 3 Commentaires

Au milieu de nulle part.

Au milieu de nulle part. dans divers 3845399-le-penseur

Être là, allongé au milieu de nulle part.

Un instant se reposer, se laisser aller.

Être perdu dans ses pensées,

Rien ne s’est fait par hasard.

Une action en entraînant une autre,

Pierre après pierre, on a construit un mur.

Il y a des fenêtres, certaines sans barreau,

Il y a des fissures, que le temps a gommées bien-sûr.

L’homme plie et ne rompt pas, c’est un roseau.

Pan après pan, il construit sa maison,

Qu’il a fallu rebâtir parfois car le château était branlant.

Mais,  il s’acharne et il a raison.

Toujours va de l’avant et refuse le néant.

C’est pourquoi dans son home, il ne peut être solitaire.

Pour croire en lui, il a besoin de sentir l’autre, solidaire.

C’est son booster, sa bonne étoile,

Autour d’elle, il tisse sa toile.

Mais de temps en temps, il a besoin d’espace,

De faire le vide et il cherche sa place.

Il prend des coups, il en donne parfois,

Et la mémoire n’oublie pas comme ça.

On ne peut pas toujours foncer tête baissée.

Sinon, l’oxygène vient à manquer.

Il faut aussi  partager, s’il l’on ne veut pas rester sur le bas côté.

Il faut se faire violence mais c’est salutaire.

Personne n’est assez fort pour tenir dans sa main la terre entière.

Alors, il s’allonge un instant, au milieu de nulle part,

Il éprouve le besoin de se reposer, de se laisser aller.

Il se perd dans ses pensées…

Rien de tout cela ne s’est fait par hasard!

 

 

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