Archive | 9 mars 2013
VIVRE ENSEMBLE
Sommes-nous faits pour vivre ensemble? Telle est la question que pose Ensaders…
Qu’en pensez-vous? OUI? pourquoi? NON? Pourquoi?
Je vous laisse intervenir et je vous écrirai demain à ce sujet….
Ailleurs
Fabian Perez – Tablao flamenco
Manuela est une jeune femme formidable. Elle a le cœur toujours du côté du soleil.
Sa passion : la danse! Plus exactement, le flamenco!
Quand elle revêt sa robe à volants rouges avec de gros pois noirs, qu’elle se maquille les yeux aux couleurs de la nuit la plus sombre et qu’elle « chausse » les castagnettes…Quel régal! Dans la troupe, on ne voit qu’elle.
Elle vient d’une famille de danseurs…toutes et tous, de père en fils, de mère en fille…La danse, c’est toute leur vie.
Il ne se passe pas de repas le week-end ou les jours de fête sans que la danse ne s’invite entre eux. Les cousins accompagnent à la guitare et soudain, c’est toute l’Espagne qui brille dans leurs yeux.
Mais, le flamenco joue aussi la séduction…avec acharnement! Quand Manuela s’échauffe et qu’elle claque des pieds de plus en plus vite, de plus en plus fort… C’est la tête qui nous tourne…Elle entre en transe et on a l’impression alors qu’elle n’est plus humaine…que le démon du flamenco la possède toute entière, à en devenir indécent. Elle soulève ses jupons, le port de tête est droit et fier, ses yeux lancent des poignards…le geste est précis, même la guitare a du mal à la suivre…Elle s’acharne ainsi jusqu’à ce qu’à bout de force, elle tombe à genoux.
Alors, comme lors d’une ultime étreinte, elle relève la tête, ses mouvements sont plus lents, plus sensuels aussi. Elle s’évente, elle a chaud. Elle entame le dernier couplet de cette danse comme on le ferait avec une poésie. C’est un au-revoir mais c’est la douleur d’un adieu que l’on ressent.
Danser, c’est toute sa vie. C’est ainsi qu’elle exprime ses sentiments, tantôt gagnants, tantôt perdants…Manuela n’imagine pas parler aux gens autrement. Car, Manuela est muette et c’est par la danse qu’elle vous crie «je t’aime ».
Dracula de Bram Stoker 1897
Dracula est un roman épistolaire de l’écrivain irlandais Bran Stoker, écrit en 1897
Abraham Stoker est né le 8 novembre 1847 à Dublin, en Irlande. Il est connu pour avoir inventé le personnage de Dracula, en s’inspirant de l’empereur roumain du XVe siècle, Vlad Tépès. La légende entourant le vampire vient d’un personnage historique ayant réellement existé. Vlad Tépès est né en 1431 en Roumanie. Il était surnommé «Vlad II l’empaleur» par ses opposants turcs et ottomans. Subissant des assauts répétés, le Roumain réfugié en Transylvanie a disposé des corps de prisonniers ennemis empalés sur des piquets.
La légende est désormais immortelle, le vampire fait partie de l’inconscient collectif, avec sa cape noir et rouge et ses dents aiguisées sorties de sa bouche.
Je ne vous résumerai l’histoire car tous, vous la connaissez. Elle est racontée au travers des carnets de bord des différents personnages. On connait tous les différents films mais, à la lecture de ce roman et c’est là je trouve sa véritable force, on se fait une image toute personnelle de Dracula, des différents héros et de l’univers car la description qui en est faite est vraiment détaillée sans être pesante.
J’avais peur, au premier abord que cette façon d’écrire et de décrire ne me lasse mais, point du tout! J’ai dévoré le roman. Il faut donc toujours se méfier des à priori…
à lire si ce n’est déjà fait!