le temps de vivre.
Le temps passe et sur mes lèvres,
Des mots, des souvenirs et des rêves.
Il fuit le présent comme s’il en avait peur.
- »Ôte parfois le pied de l’accélérateur,
Laisse toi porter par l’instant présent.
Profite de cet Amour accaparant,
Qui sèche les larmes et, fait naître le rire
Dans le fond de tes yeux, jusqu’au délire. »
Le temps comme le néant,
Sont tous deux des êtres malfaisants,
Qui volent aux étoiles, le droit d’être filantes.
La poésie est vraiment une forme littéraire qui ne m’a jamais intéresée …Tant pis !!
Dois-je en conclure que tu n’as pas aimé? Cela a au moins la franchise d’être clairement exprimé! Et que penses-tu des chapitres du livre que j’essaie d’écrire? bonne soirée, Plius
Le temps comme le néant,
Sont tous deux des êtres malfaisants,
Qui volent aux étoiles, le droit d’être filantes.
Quand voir n’est pas profiter,
quand passer n’est pas exister.
Codialement