Jonathan Livingston le goéland par Richard Bach 1970
Depuis toujours, Jonathan Livingston éprouve de la tristesse, celle de n’être ni un albatros ni un pélican et de n’être doué ni pour le looping ni pour le vol plané. A la consternation de ses parents, puis de tout le clan, il s’entraîne sans relâche afin améliorer sa vitesse et sa qualité de vol afin d’approcher la perfection, de donner un sens à sa vie pour qu’elle ne soit pas médiocre! Le Grand Conseil finira par l’ exclure! Mais, sa pénitence se transformera en paradis lorsqu’il rencontrera Chiang l’Ancien et les autres exclus assoiffés d’infini. Chiang lui apprend l’absolu, mais aussi la responsabilité, la confiance, l’amour, la liberté.
un histoire simple et belle, qui parle de liberté, de rêves, et de la volonté nécessaire pour les atteindre. Une histoire qui embarque et c’est bien ce que l’on attend d’un livre.
Un côté :lPetit Prince de Saint Exupéry , en moins abouti, pour sa force métaphorique tout au long de l’histoire.
Un petit côté « Platon » aussi : celui qui ose sortir de sa caverne et cesse de se bercer d’illusions, afin de partir en quête de la vérité et de la connaissance.
Et, la musique….
A propos de l’auteur
Richard Bach, écrivain et pilote, vit sur une île avec sa femme Leslie Parrish-Bach. II est l’auteur de huit ouvrages, dont « Le Messie récalcitrant », un livre qui nous apprend à vivre l’évasion, la beauté, la bonté dont parle Jonathan le goéland, et « Un pont sur l’infini », son dernier ouvrage, qui est aussi la plus merveilleuse des histoires d’amour.
Bonjour,
Ce livre m’a été offert lorsque j’étais encore en réanimation dans sa version de luxe, dès que j’ai pu j’ai commencé ce parcours qui m’a permis de guérir, pour moi c’est le complément du Petit Prince, à ce jour ce superbe livre est sur ma table de chevet, sa lecture m’aide à aller plus loin encore plus loin.
Bonne journée
Anne-Marie