Mille femmes blanches par Jim Fergus
En 1874 ; à Washington, le président américain Grant accepte dans le plus grand secret la proposition incroyable du chef indien Little Wolf : troquer milles femmes blanches contre chevaux et bisons pour favoriser l’intégration du peuple indien. Si quelques femmes se portent volontaires, la plupart des « Mille femmes » viennent en réalité des pénitenciers et des asiles de tous les Etats-Unis d’Amérique… Parvenue dans les contrées reculées du Nébraska, l’une d’entre elles, May Dodd, apprend alors sa nouvelle vie de squaw et des rites inconnus des Indiens. Mariée à un puissant guerrier, elle découvre les combats violents entre tribus et les ravages provoqués par l’alcool.
Aux côtés de femmes de toutes origines, May Dodd assiste alors à la lente agonie de son peuple d’adoption…
Je pense qu’il sera fait un film de cet ouvrage! J’ai tout apprécié, sous forme de carnet intime : les descriptions, l’époque, les personnages.. Ecrit et décrits sans complaisance aucune. On s’offusque bien évidement! Un livre exaltant.
Je l’ai offert à quelques personnes et toutes ont aimé. Ce livre est resté 57 semaines en tête des meilleures ventes au EU.
Je l’ai enfin lu ! Et j’ai vraiment aimé ce regard féminin sur les tribus indiennes ! C’est un livre dense, très intéressant qui m’a beaucoup fait réfléchir sur notre « sauvagerie », l’amour, les différences et surtout notre manie de toujours vouloir refaçonner les autres à notre image ! Un beau livre vraiment ! Il y’a une suite à ce livre: « La vengeance des mères » !
J’ai moins aimé la vengeance des mères. En effet, il s’agit d’une histoire racontée au travers de plusieurs personnes, avec un langage volontairement plus ‘cru’…Je te laisse le lire également mais, tu risque d’etre un peu déçue par rapport au premier. J’avais également lu Chrysis, que j’ai adoré.
J’ai découvert entre temps BUSSI ! Rien à voir avec Fergus mais extra ! bisou. A bientôt.
Je sors mon troisième livre normalement à la fin de l’année après entre ciel et terre et va où le vent te mène, ce sera : kimono du désir !